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L'UMOFC participe à la CSW 68 à l'ONU, New York, avec un événement parallèle sur la prévention et l'élimination de la violence et de la discrimination à l'égard des femmes en Afrique.

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La Présidente Générale de l'Union Mondiale des Organisations Féminines Catholiques (UMOFC), Mónica Santamarina, s'est rendue à New York à la fin du mois de mars pour assister à la 68e session annuelle de la Commission de la condition de la femme (CSW68) des Nations Unies, où elle a participé à divers événements et réunions, en compagnie de Barbara Dowding, Vice-présidente Régionale pour l'Amérique du Nord, et de Maribeth Stewart, Représentante Internationale de l'UMOFC auprès des Nations Unies, à New York. Parmi les diverses activités, l'UMOFC a organisé, avec son Observatoire Mondial des Femmes (WWO), un événement parallèle parrainé par la Fondation Conrad N. Hilton :

“Working to end violence against women". (Travailler pour mettre fin à la violence à l'égard des femmes).

IN-VISIBLES NO MORE. . “African women: Change makers´voices and images”. (Voix et images des femmes africaines agentes du changement).

Mónica Santamarina, Maribeth Stewart et Barbara Dowding se sont d'abord rendues à un événement organisé par la Mission permanente d'observation du Saint-Siège auprès de l'Office des Nations Unies et Caritas International, le 19 mars. L'événement s'est concentré sur le rôle des chefs religieux et des organisations promouvant le leadership des femmes, un événement qui a aidé les membres de l'UMOFC à recueillir des idées et des modes d'action qui pourraient être utiles pour de futurs projets et initiatives.

Les représentantes de l'UMOFC ont également eu l'occasion de rencontrer, le 20 mars, Mgr Gabriele Giordano Caccia, Observateur Permanent du Saint-Siège auprès des Nations Unies et des Organisations Internationales, pour lui présenter les projets menés par l'UMOFC et son WWO. Le même jour, elles ont rencontré Sœur Hortensia del Villar SAC de la Fondation Hilton et des représentantes des Knights of Peter Claver Ladies Auxiliary, une organisation membre de l'UMOFC aux Etats-Unis.

Le 21 mars était le jour dans lequel à eu lieu l’événement parallèle de l'UMOFC, "Travailler pour mettre fin à la violence contre les femmes". Maribeth Stewart, modératrice, a présenté Mónica Santamarina ; Katie Boller Gosewisch, Directrice Exécutive d´Alliance to End Human Trafficking ; Lia Beltrami, réalisatrice et productrice du documentaire "In-visibles" et Sœur Hortensia del Villar de l'Initiative des Sœurs Catholiques de la Fondation Conrad N. Hilton.

Le Président Générale de l'UMOFC a expliqué le parcours de l'Organisation au cours des dernières années, en présentant le WWO et ses premiers résultats, suivi d'une projection du documentaire "In-visibles". Chaque panéliste a partagé des idées et des perspectives précieuses, soulignant l'importance de la sensibilisation, du partage des bonnes pratiques, du soutien mutuel et de la mise en réseau des femmes, ainsi que la nécessité d'un financement pour mener à bien des initiatives efficaces. L'événement s'est conclu par une séance de questions-réponses, au cours de laquelle les participants ont eu l'occasion d'interagir avec les panélistes.

Dans son discours de clôture, Mónica Santamarina a remercié les sponsors, les panélistes et les participants pour leur présence et leur engagement dans la lutte contre la violence et la discrimination à l'égard des femmes et les a invités à participer à la campagne "#In-visibleNoMore" et à devenir ambassadeur ou ambassadrice pour les invisibles. L'événement s'est conclu en sachant qu’un espace important avait été fourni pour l’échange d'idées et la création de liens de collaboration dans la recherche de solutions pour mettre fin à la violence et à la discrimination à l'égard des femmes dans le monde entier.

À propos de CSW 68

La  session annuelle de la Commission de la condition de la femme (CSW), le plus grand rassemblement annuel des Nations Unies consacré à l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes. Cette année, lors de la 68e session, le thème prioritaire était « Accélérer la réalisation de l’égalité entre les hommes et les femmes et l’autonomisation de toutes les femmes et les filles en s’attaquant à la pauvreté et en renforçant les institutions et le financement dans une perspective d’égalité entre les hommes et les femmes ».