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Nations Unies à Genève

Le Conseil de Droits de l'Homme des Nations Unies à Genève adopte une résolution sur la Protection de la Famille

Le Conseil de Droits de l’Homme des Nations Unies à Genève vient d’adopter le 9 juillet dernier, une résolution très importante sur la Protection de la Famille. 

L’UMOFC, responsable du groupe de travail sur la Famille au Forum des ONG Catholiques à Genève en collaboration avec Caritas Internationalis, la Fondazione Giovanni XXIII, les Dominicains pour Justice et Paix, et l’ONG internationale « Point-Cœur », a joué un rôle primordial dans le soutien de l’élaboration et de l’adoption de la résolution sur « La protection de la famille: contribution de la famille à la réalisation du droit à un niveau de vie suffisant pour ses membres, en particulier par son rôle dans l'élimination de la pauvreté et dans la réalisation des objectifs de développement durable ». 

Quelques points clés de la Résolution :

-       Réaffirme que la famille est l’élément naturel et fondamental de la société et qu’elle est un allié dans la lutte contre la pauvreté donc elle devrait être soutenue en ce qui concerne les programmes sur le développent durable. 

-       Encourage les Etats à élaborer des politiques favorables à la famille notamment ceux ayant trait à la fiscalité, à l’investissement, et à l’emploi. Et même créer des institutions nationales ou des organes gouvernementaux chargés de mettre en œuvre et de contrôler les politiques familiales.

-       Note la vulnérabilité des familles monoparentales, et l’importance d’introduire les politiques qui protègent contre la violence dans la famille et la discrimination contre les femmes.

-       Reconnait le rôle important que joue la société civile pour la valorisation du rôle de la famille.

-       Encourage les Nations Unies de tenir compte du fait que la famille contribue au développement durable et d’incorporer la perspective de la famille dans les objectifs de développement durable (ODD).

-       Demande au Haut-commissaire d’élaborer un rapport sur l’incidence du respect par les Etats des obligations quant à la protection de la famille.