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Avec la guerre de 1914-1918, l'Union cesse de fonctionner et ne reprendra qu'en 1921. Néammoins la Présidente arrive à garder des liens avec le Vatican ainsi qu'avec plusieurs ligues nationales.
2023-Présent Mónica Santamarina (Mexique)
2018-2023 María Lía Zervino, Servidora (Argentine)
2010-2018 Maria Giovanna Ruggieri (Italie)
1996-2006 Maria Eugenia Diaz de Pfennich (Mexique)
1987-1996 Marie-Thérèse van Heteren-Hogenhuis (Pays-Bas)
1983-1987 Eleanor E. Aitken (Canada)
1974-1983 Elizabeth Lovatt-Dolan (Irlande)
1961-1974 María del Pilar Bellosillo (Espagne)
1952-1961 Marie du Rostu (France)
1922-1952 Señora Steenberghe-Engeringh (Pays-Bas)
1913-1922 Condesa Vodzicka (Pologne) Première Présidente Internationale
1913 Margaret Fletcher (Angleterre) Élue pour préparer le Conseil suivant
1912 Condesa Zicky-Metternich (Autriche) Élue pour préparer le Conseil suivant
1911 Marquesa de Unza del Valle (Espagne) Élue pour préparer le Conseil suivant
C’est en 1910 que la Vicomtesse de Vélard, Présidente de la Ligue Patriotique des Françaises (devenue plus tard l‟Action Catholique Générale Féminine, ACGF) proposa de réunir les ligues catholiques de femmes du monde entier.
Cette première rencontre, baptisée Comité d'initiative, eut lieu à Bruxelles (Belgique) et regroupait les ligues d'Allemagne, d'Angleterre, d'Autriche, de Belgique, du Brésil, d'Espagne, de France, de Lorraine, du Portugal, de Suisse et d'Uruguay, ainsi que l'Association Internationale Catholique de la Protection de la Jeune Fille (devenue depuis Association Catholique Internationale des Services de Jeunesse Féminine, ACISJF).
Le 26 septembre, la Présidente Générale de l'UMOFC, Maria Lia Zervino, a été invitée à donner une master class à l'Athénée Pontifical Regina Apostolorum sur les principaux problèmes et défis des femmes dans le contexte latino-américain. Éléments communs et distinctifs.
Le 26 octobre 2019, nous avons été invitées par la Conférence épiscopale espagnole et la Commission épiscopale de l'Apostolat séculier à présenter l'UMOFC à la Conférence des délégués de l'Apostolat séculier.
L'UMOFC ET LES NOUVELLES GENERATIONS
Message de la Présidente Générale pour novembre 2019
María Lía Zervino, Servidora
"Chaque fois que vous l'avez fait à l'un de ces petits, mes frères, c'est à Moi que vous l'avez fait" (Mt 25,40) nous dit Jésus.
Que notre chemin de sainteté nous conduise, chères amies, au soin et à la promotion des nouvelles générations.
L’UMOFC a également assisté à la dernière réunion d'information sur le Synode le 25 octobre :
-Mgr Joaquín Humberto Pinzón Güiza, I.M.C., Vicaire apostolique de Puerto Leguízamo-Solano, évêque titulaire d'Ottocio (Colombie)
-S.E. Mgr Evaristo Pascoal Spengler, O.F.M, Nicolau Nascimento de Paiva, Coordinateur du CAIC, Église évangélique de la confession luthérienne au Brésil
- Révérend Miguel Heinz, S.V.D., Président d'Adveniat (Allemagne),
-Soeur Inés Azucena Zambrano Jara, M.M.I., des Sœurs Missionnaires de Marie Immaculée et de Ste Catherine de Sienne (Colombie).
-Paolo Ruffini, Préfet du Dicastère de la Communication.
-Giacomo Costa, S.I., Secrétaire de la Commission de l'information.
A l'occasion de l'Assemblée Spéciale du Synode pour la Région Panamazonienne, l'UMOFC a organisé, avec l'Action Catholique Italienne, le Forum International d'Action Catholique et la Fondation Pie XI (Ecole de Sainteté de l'Action Catholique), le 15 octobre, un événement de dialogue sur le thème "Témoins et martyrs de l'inculturation de la foi en Amazonie".
L'UMOFC participe à la conférence de presse organisée le 3 octobre dans le bureau de presse du Saint-Siège, à l'occasion de la présentation de Assemblée Spéciale du Synode des Évêques pour la région panamazonienne, qui se tiendra dans la nouvelle salle du Synode du Vatican du 6 au 27 octobre 2019, sur le thème: Amazonie: Nouveaux Chemins pour l’Église et pour une Écologie Intégrale.
Son témoignage déchirant nous invite à jeter un regard en arrière sur cette île souffrante, dont l'épreuve semble ne pas s'achever.
Les témoignages de médecins cubains au Venezuela, il y a quelques heures par le biais d'un média colombien, ont mis en lumière le harcèlement subi par le régime Maduro, qui les a contraints à exhorter ceux qui ont besoin de soins de santé à soutenir le président et à proclamer sa "bonté". Ils l'ont fait, à l'extérieur, bien sûr. Pendant qu'ils étaient en territoire vénézuélien, sous la loupe des deux gouvernements, Cuba et le Venezuela, ils ont dû se taire.