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En ce jour de l’UMOFC rappelons-nous des intentions pour cette année : Les femmes qui souffrent dans le monde.
I. Nous sommes spécialement invitées cette année, en partageant la table du Seigneur, à être attentives à l’angoisse de nos sœurs qui souffrent.
Aujourd’hui nous prions pour « toutes celles qui sont abusées, violées, opprimées et qui sont dans des situations qui les privent de leur dignité. Nous prions pour les mères désespérant d’avoir de l’eau potable et de l’hygiène, de la nourriture suffisante et des soins médicaux pour leur famille. Nous prions pour celles qui luttent pour survivre, celles qui sont cassées et aliénées, réfugiées et membres de minorités souffrant de discriminations répétées, supportant les affres de l’indifférence et de l’oppression. Nous prions pour le jour où les femmes égales en dignité auront des droits égaux et pourront vivre en paix, dans la joie et l’harmonie ». (Se rapporter aux Intentions pour 2017)
Ce mois-ci, nous célébrerons le moment le plus important, le sommet de notre foi, la passion, la mort et la résurrection de Jésus-Christ, notre Sauveur. Si nous pensons à tout ce qu’a fait notre Seigneur Jésus-Christ pour nous sauver, nous ne pouvons ignorer la miséricorde de Dieu. C’est très présent dans la liturgie que nous célébrons. Le Pape François écrit dans Misericordia et Misera: « Nous sommes d’abord appelés à célébrer la miséricorde.
Le titre de la Lettre Apostolique « Misericordia et Misera » fait référence à deux mots employés par Saint Augustin « pour raconter la rencontre entre Jésus et la femme adultère ». Très souvent, les femmes qui rencontrent Jésus ne sont pas acceptées dans la société à cause de leur vie, elles sont jugées, discriminées, isolées et condamnées.
A l'occasion de la 2ème Conférence avec les femmes du Moyen-Orient et de la Méditerranée, organisée par l'UMOFC, le Pape François a salué publiquement les participantes lors de l'audience du mercredi 19 octobre, place Saint-Pierre, et leur a envoyé le télégramme suivant.
LES FEMMES DE L'UMOFC, SIGNES TANGIBLES DE VIE ET D'ESPÉRANCE
"Spes non confundit" (l’espérance ne déçoit pas). Il ne fait aucun doute que le thème que nous avons choisi pour ce numéro du magazine est très pertinent pour le début de l'année jubilaire, un temps grâce, de pardon et de renouveau spirituel qui nous invite à vivre dans l'espérance et à renforcer notre témoignage chrétien. Mais le thème est également très opportun en ce moment où le monde semble plongé dans une spirale marquée par la guerre et la violence ; la polarisation et les extrémismes politiques, raciaux et religieux que nous pensions avoir surmontés ; la destruction de l'environnement ; la faim et la misère pour beaucoup ; le fléau de la drogue ; la désintégration des familles ; le désespoir des jeunes et la souffrance des femmes, des personnes âgées, des enfants et des migrants vulnérables. Un monde qui, sans aucun doute, nous pousse à tourner notre regard vers le Seigneur de la miséricorde.
Mónica Santamarina, Présidente Générale de l'UMOFC
VIVRE AVEC ESPÉRANCE
"L'espérance ne déçoit pas" (Romains 5,5) - tel est le message de l'Année jubilaire de l'Espérance 2025, proclamée par le pape François. Cette année est spéciale non seulement parce qu'il s'agit d'une année jubilaire, célébrée tous les 25 ans, mais surtout parce que le Seigneur, par l'intermédiaire de notre mère, l'Église, nous appelle à réfléchir, à reconsidérer profondément, à expérimenter, à nourrir et à embrasser pleinement les grâces divines qu'il nous a accordées dans les saints sacrements.
Lorsque j'ai entendu pour la première fois le message de l'Année jubilaire, j'ai été particulièrement touchée en tant que catéchiste. Pourquoi l'espérance ? Pourquoi l'apôtre Paul parle-t-il si profondément de l'espérance ? J'ai ouvert les Écritures et j'ai lu le verset en entier : "L'espérance ne nous déçoit pas, puisque l’amour de Dieu a été répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint qui nous a été donné." (Romains 5,5). L'espérance ne déçoit pas, précisément à cause de l'amour de Dieu. L'espérance est donc un grand don de Dieu, guidé par son amour.
Viktoriia Marko, Ukrainian Catholic Women’s League of Canada
FEMMES CWA: SEMEUSES D'ESPÉRANCE
Les membres de la Catholic Women’s Association (C.W.A) du Cameroun, 60 ans après sa fondation, sont plus convaincues de leurs efforts quotidiens pour répondre à l'appel à la sainteté, liées par leur engagement et leur amour pour l'Eglise et leur désir de servir l'Eglise et la société.
Conformément à sa devise, "Servir et ne pas être servi", les membres ont, au fil des ans, rendu un service inlassable, de qualité et plein d'amour à l'Église, à la famille et à la société. Avec la spiritualité et la charité comme objectifs clés, l'organisation apporte de l'espérance aux désespérés partout où elle est établie, car toutes nos activités sont planifiées dans cet esprit.
Judith Chiatoh, CWA Camerún
La Conférence de la région Asie Pacifique de l’UMOFC s’est tenue du 1er au 6 mai 2016 sur le thème « Espérance et miséricorde se rencontrent dans l’amour de Dieu ».
Plus de 700 membres et invités de la Ligue des Femmes Catholiques (CWL) se sont retrouvés à Halifax en Nouvelle Ecosse, l’une des cités les plus anciennes du Canada, du 14 au 17 août 2016 pour leur 96e Convention Annuelle, Un Cœur, Une Voix, Une Mission : Soins Palliatifs et Hospice, appellation bien adaptée à la Convention de l’Année Jubilaire de la Miséricorde
Les membres du Bureau, présidentes et représentantes d’organisations de femmes de 21 pays, des organisations de la région Afrique des femmes catholiques du monde (UMOFC- Afrique), se sont rencontrées à Lilongwe, Malawi, du 29 août au 5 septembre 2016 à la Conférence régionale, sur le thème « Femmes d’Afrique, annonciatrices de la miséricorde de Dieu »,en réaffirmant leur rôle d’évangélisatrices.
Femmes, artisanes de paix pour une culture de la rencontre et du dialogue est le thème de la Conférence des femmes du Moyen-Orient et de leurs sœurs du monde entier qui s’est tenue à Bari, en Italie, du 19 au 23 octobre 2016.
En 2016, en octobre, à Bari, les conseillères avec l’Assistant Ecclésiastique le père Gerard Whelan, S.J., et quelques-unes des représentantes internationales ont évalué le développement du Plan d’Action, l’ont adapté et ont pris un nouvel engagement